Hiendel Eric [Validé]

I. Renseignements généraux
Nom :: Hiendel
Prénom :: Eric
Surnom :: N/A (pour l'instant)
Date de naissance :: 4 Janvier 1940 (28 ans)
Nationalité :: Australienne
Profession :: Pharmacien
Parti :: Cour des Miracles

II. Descriptions
Description physique :: Un homme grand, dans les 185 cm facile, mince, vêtu d’un long manteau sombre dont la couleur oscille entre le bleu nuit et le noir selon l’éclairage, et d’une écharpe bleu nuit lorsque la température l’exige. Ses cheveux blonds cendrés sont pour la plupart attachés à l’arrière de son crâne en une courte queue de cheval, et ceux trop courts pour être retenus de la sorte sont laissés libres. Son visage mince aux pommettes hautes et saillantes est orné d’une barbe rase laissant échapper une fine moustache sous son nez fin et régulier. Sous ses sourcils se trouvent deux émeraudes profondes dont le vert sombre dénote un regard alerte et attentif. Le tout est agrémenté de lunettes à monture fine posées sur l’arrête du nez, dont les verres ne sont que de vulgaires morceaux de verre ordinaire qui n’ont aucune utilité sinon décorative.
Sous son manteau, ses vêtements varient en fonction de la situation. Mais il s’agit le plus souvent d’un pantalon de tissus coupé à sa taille et d’une chemise généralement de couleur sombre. Il revêt une chemise blanche lorsqu’il doit rencontrer des clients dans le cadre de son travail officiel. Il aime également utiliser une paire de gants en cuir noir. S’il dispose d’un pistolet, soigneusement dissimulé sous son manteau, il ne s’en sert qu’en ultime recours, car il déteste le bruit de la détonation et préfère de loin les armes silencieuses.

Description psychologique :: Eric est le genre de personne qui ne ferait pas de mal à une mouche… sauf que les gens ne sont pas des mouches. Vous l’aurez compris, c’est un homme qu’il ne faut pas mettre en rogne, mais heureusement, c’est vraiment difficile à faire, voire impossible. Plutôt souriant, il est volontiers cynique et son sens de l’humour est souvent mordant. Cependant, c’est un compagnon agréable, sous certaines conditions, qui a le sens de l’honneur. L’altruisme et la solidarité ne sont pas ses traits de caractère dominants et il n’hésitera pas à piétiner ceux qui sont sur son chemin si cela s’avère nécessaire pour avancer. Cependant, s’il commet l’erreur de s’attacher à quelqu’un, il fera preuve de loyauté et ne le laissera jamais tomber, attendant la même chose en retour. L’honnêteté est pour lui une grande vertu, trahissez-le et vous vous en ferez un ennemi mortel et implacable. Dans la vie de tous les jours, c’est donc un homme sympathique, d’agréable compagnie pour peu que vous ne preniez pas ombrage de ces commentaires acidulés. Mais malgré sa langue acérée, il sait aussi se taire quand il le faut. Pour certains, il paraît assez peu abordable car malgré son sens de l’humour dont personne n’est à l’abri, il est tout de même assez ténébreux. Il ne se confie pas facilement et il est très difficile, pour ne pas dire impossible, de savoir ce qu’il pense vraiment. De même, ses sourires et éclats de rire ne sont que très rarement sincères et servent d’avantage de façade.
Mais dans le travail, il est totalement différent. Bien qu’il puisse faire preuve dans la vie de tous les jours de légèreté et d’une insouciance honteuse, lorsqu’il a une tâche à accomplir, il s’y consacre avec le plus grand sérieux. C’est un homme qui n’admet pas l’échec et ne tolère aucune erreur, de lui-même comme des autres. Dans le travail, efficacité et réussite sont les maîtres mots. Ceci fait qu’il ne lâche jamais le morceau avant d’avoir atteint ses objectifs. En d’autres mots, c’est un gagneur déterminé et acharné. Par conséquent, il est déconseillé de s’en faire un ennemi à moins de savoir exactement comme s’en protéger et le tuer.

Biographie :: Une voiture de location avance seule dans l’obscurité de la nuit, le long de la route déserte éclairée par la leur blafarde des étoiles et la violente lumière des phares du véhicule. Au volant de cette voiture, un homme seul, ou presque, dont les yeux verts restaient fixés sur le noir ruban d’asphalte qui défilait sous les roues. Qui était-il ? Personne, jusqu’à ce jour. Mais cela finirait par changer, parce qu’il l’avait décidé. Les choses avaient bien changé. Une voix féminine près de son oreille lui mentionna qu’en effet, il était bien différent du jeune homme qu’elle avait connu, mais que ce changement ne la dérangeait pas, et qu’il était toujours Eric Hiendel.

Oui, songea l’homme, mais qui était Eric Hiendel ? Un bébé né à Sydney, avait reçu ce nom lors de sa venue au monde, et ce bébé avait grandit pour devenir cet homme qui conduisait la voiture, il était donc bien Eric Hiendel. Alors il devait y avoir plusieurs Eric Hiendel, car cet homme vêtu de noir n’avait plus rien à voir avec ce blond gamin de 4 ans qui gambadait dans les jambes de ses parents tandis qu’ils s’efforçaient de servir les clients. En effet, cette époque était bel et bien révolue, et depuis longtemps. A cette époque, il était encore un garçon ordinaire.
Perdu dans ses pensées, ce fut la même voix féminine, chaude et profonde, qui le ramena à la réalité pour lui éviter de louper le virage. Il tourna brusquement et en fut quitte pour une simple frayeur. Il profita de la ligne droite qui suivit pour jeter un œil à la boîte en bois posée sur le siège arrière. Dans la brusque négociation du virage, son contenu avait émis un son de flacons de verre s’entrechoquant. Il espéra pour que rien ne soit brisé. Qu’y avait-il dans cette boîte ? Un fragment de son passé, qui l’aiderait à construire son avenir. Un atout gagné dans le sang, et conservé dans les bras de la mort, lui rappela la voix près de son oreille.

Oui, en effet. Quand tout cela avait-il commencé ? Très tôt, à n’en pas douter. Son père et sa mère géraient leur pharmacie et leurs connaissances combinées pour les herbes, les médicaments, et leurs effets, lui semblaient sans limites à l’époque. Et il est vrai qu’il y étaient experts, peut-être les meilleurs de toute l’Océanie. Il commencèrent très tôt à lui enseigner ce qu’ils savaient, afin qu’il puisse reprendre plus tard le commerce familial. Ce fut au cours de son adolescence mouvementée dans les rues de Sydney qu’il pris conscience que ses connaissances en herboristerie étaient également des connaissances en poisons. Une altercation entre deux bandes rivales avait accidentellement coûté la vie à sa petite-amie du moment, par la faute d’un malheureux hasard. Il était sortit avec elle un soir et au retour, ils se sont trouvés au mauvais endroit au mauvais moment. Lorsqu’il s’était réveillé à l’hôpital la semaine suivante, on lui appris que la jeune fille ne s’en était pas sortie. Durant sa convalescence, sa colère silencieuse bouillant dans ses entrailles alimentait sa haine et sa détermination. Lorsqu’il fut remis de ses blessures, il s’empara de quelques plantes dans la réserve de la pharmacie et les mélangea selon une méthode bien précise pour obtenir le produit désiré. Cela lui avait pris des mois pour retrouver les deux bandes et trouver un moyen de leur faire avaler son poison. Il y parvint finalement avec une astuce vieille comme le monde : un appât. De simples bouteilles d’un alcool fort et savoureux, une promenade dans une rue peu éclairée et manifestement déserte, une terreur feinte, une fuite calculée en abandonnant sur place les bouteilles et un peu d’argent pour donner le change. Il avait de la sorte anéanti plusieurs gangs en herbe avant de toucher enfin ceux qu’il visait.
Mais ses parents n’étaient pas idiots. Ils entendirent parler de ces massacres dans le journal et firent très vite le lien avec la disparition de certaines plantes et substances dans leur réserve. Eric fut chassé de chez lui et renié par sa famille. Il s’aperçu alors que la vengeance était quelque chose de vide et inutile, et qu’elle n’apportait que regrets et malheur : le prix de tous ces morts.

Des phares apparurent au loin devant lui. Une autre voiture arrivait en sens inverse, l’extirpant à nouveau de ses souvenirs. La voix à son oreille s’adressa à lui avec sollicitude.
- Tu es pensif aujourd’hui. Regrettes-tu cette nouvelle destination ?
- Pas le moins du monde, mais lorsque la vie des gens change radicalement, ils ne peuvent s’empêcher de regarder en arrière pour voir ce qu’ils ont déjà traversé. Visiblement, je ne fais pas exception à la règle.
- Tu as peur ?
- Un peu, mais cela ne va pas m’arrêter, cela ne m’a jamais arrêté.

Ce n’était pas des paroles en l’air que l’on prononce dans le but de se rassurer soi-même, ce n’était que la stricte vérité. Lorsqu’il s’était lancé dans sa croisade vengeresse, il n’ignorait pas les possibles conséquences s’il était découvert, et il ne s’en moquait pas, il les craignait. Cependant, il avait continué d’avancer, poussé à se montrer prudent par cette même peur. Bien loin de l’entraver, elle s’était montrée une alliée fidèle.

- Tu es fort, lui dit la voix, tu as traversé tant d’épreuves que je ne vois pas ce qui pourrait t’abattre à présent.

Oui, elle avait encore raison. Après avoir été chassé de chez, lui eu déjà la chance que ses parents ne le dénoncent pas à la police. Il se mit immédiatement à chercher du travail pour subsister, et accepta le premier qui lui tombât sous la main. C’était un travail pénible et ingrat, bien peu fait pour un adolescent de cet âge. Mais au moins, il survécut, tant bien que mal, même aux premiers temps qui furent particulièrement difficiles et où ils crut plusieurs fois que son heure était venue.

- Et pourtant, te voilà en route pour la capitale du monde afin de le changer, claironna la voix emprunte de fierté et d’excitation.
- Ne te montre pas trop optimiste, nous avons bien plus de chances de périr dans un caniveau dans l’anonymat le plus complet que de réaliser cette ambition qui tient de la folie pure.
Pourtant, l’homme avait dit cela comme de rien, avec sur les lèvres un léger sourire à la fois ironique et amusé.
- Je le sais bien, qu’est-ce que tu crois.
- Je sais que tu sais, mais une piqûre de rappel de fait jamais de mal à une tête brûlée comme toi.
Cette fois il sourirait franchement.
- Tu veux que je te morde pour voir ? Dit la voix faussement agressive. Je suis idéalement placée, juste devant l’artère acheminant ton sang au cerveau. Tu mourrais très vite.
L’homme rit franchement.
- Quel caractère ma chère !
- Et comment un banal pharmacien compte-t-il changer le monde ? Interrogea la voix.
- Je ne sais pas encore. Je ne sais pas vraiment comment fonctionne Paris, je suppose que je trouverais bien quelque chose là-bas. (Il se rembrunit) J’espère qu’au moins nous pourrons nous faire une place dans cette ville.
- Tu peux tout faire, lui murmura la voix. Tu étais au plus bas, mais tu t'en es sortit.

Un jeune garçon. Quel âge avait-il ? Autour de 18 ans peut-être. Mais que faisait-il là, allongé sur le trottoir glacé dans la l’obscurité précédant l’aube ? Était-il en train de dormir ou était-il mort ? Il semblait plus proche de la deuxième option que de la première. Pourtant, il finit par s’éveiller. Pourquoi ? Une voix. C’était une voix qui l’avait réveillé. Mais il n’y avait personne autour de lui, pourtant la voix était toute proche. Elle parlait à son oreille, l’encourageant à se réveiller, sans quoi il finirait pas mourir. Le cerveau encore embrumé par les brumes du sommeil, il essaya de se rappeler qui il était et ce qu’il faisait là. Eric Hiendel, c’était son nom. Petit à petit, les souvenirs revinrent un à un. Mais il ne parvenait pas à se rappeler ce qu’il faisait là, à dormir dans une ruelle étroite sur le béton dur et glacé. Quel était son souvenir le plus récent ? Hier soir, il rentrait du travail, épuisé, à moitié mort de faim, au bout du rouleau. Mais encore ? Il s’est trompé de rue et a tourné au mauvais endroit. De toute manière, il logeait dans un bouiboui à peine mieux que la rue elle-même. Mais ce n’était pas une raison pour s’endormir là. Il se creusa la cervelle. Il avait entendu un bruit, un moteur tournant au ralentit, puis un coup de frein près de lui. Cela n’explique toujours pas, quoi d’autre ? Il n’arrivait pas à se rappeller. Il roula sur le côté pour se retourner et voir qui lui avait parlé, mais il n’y avait personne.
- Fais un peu attention, protesta la voix rageuse. Tu as failli m’écraser !
Il porta son regard vers le bas. Une grosse araignée noire se tenait près de lui. C’était elle qui lui avait parlé ? Dans son état, il était prêt à croire n’importe quoi. Puis soudain, d’autres souvenirs lui revinrent comme un flash. Une camionnette noire qui s’arrête près de lui, des hommes qui en descendent, des bras puissants qui l’enserrent, un mouchoir humide sur son nez. Une odeur très forte, et désagréable, du chloroforme. Et après plus rien. Le vide total, puis le réveil sur le trottoir, glacé jusqu’à la moelle des os. Il connaissait ces symptômes : souvenirs lents à revenir, réveil pénible, tête qui tourne, articulations raidies. C’était un anesthésiant, et un puissant. Il porta une main à son visage et toucha sa joue. Cela ne s’était certainement pas passé hier soir. Vu la longueur de sa barbe, il avait dormi au moins quatre jours.
- Bon, tu te réveille ? Le pressa l’araignée. J’aime pas cet endroit.

C’était un souvenir fort désagréable, mais cet événement avait conduit à un autre qu’il considérait heureux : l’apparition de sa compagne à huit pattes.
- Oui, confirma-t-il, je m’en suis sortit, grâce à toi, Lyssa.
La mygale qui sauta soudain sur le sommet du crâne su conducteur ne dit rien, mais apprécia la remarque à sa juste valeur. Elle regardait la route avec lui. Au-dessus de l’horizon, le ciel commençait à s’éclaircir, le noir d’encre de la nuit perdant un peu de sa densité. Et au détour d’un virage, il aperçurent au loin des étoiles oranges et bleues posées sur le sol : Paris.

Alors, j'viens de lire


Bienvenue tout d'abord ^^


J'avais deux petites questions/suggestions :

- Comment la transformation Humain --> Daemon s'est faite chez Eric ? Où, quand, par qui ? L'Océanie n'a pas vraiment été touchée par les expériences nazies de la 2e guerre.
Je ne t'oblige pas à le mettre dans ton BG si tu voulais conserver le mystère autour de ton perso, mais HRP, si tu pouvais me dire ce que tu en penses, et si tu y a réfléchi


- C'est plus un détail, mais pour ta bestiole. Dans le descriptif, il est dit qu'il n'est mortel que pour les Primates. J'imagine que cela inclus les humains, au vu de ton descriptif qui suivait. Si tu pouvais m'affirmer ou m'infirmer ce point.




A par ça, rien à dire
Et avec mes deux petites explications, ça sera OK pour moi

Alors, concernant la transformation en Daemon, j'admet que j'en sais rien. Il y a assez peu d'info à ce sujet dans le background et j'ai posé la question à une amie qui joue ici, notamment si le lien entre le Daemon et le Receptacle s'établissait dès la naissance ou s'il pouvait se créer par un rencontre du hasard. Elle m'a dit que c'était un peu comme je voulais, donc j'ai improvisé comme j'ai pu pour en dire le moins possible, n'en sachant rien moi-même. Si quelqu'un peu me renseigner à ce sujet, je compléterais ma biographie.

Pour ta seconde question oui, les primates, c'est les humains et toutes les espèces de singes, lémures ect... en gros tout ce qui ressemble de près ou de loin à un humain ou un singe.

C'est bon Carabas-chiantos ?
T'as finit d'embêter le môsieur ?

Huhu.

Et bien, j'aime bien embêter les gens, parce que ça permet d'approfondir certaines choses qui ne l'ont pas été, ou qui ne le sont pas encore.

Comme le : "[...]Il y a assez peu d'info à ce sujet dans le background [...]"



Et pis, c'est toi le chef, hein ^^
Cela dit, j'vais plancher sur cette histoire, mwa. Et dès qu'il y a du nouveau, si nouveau il y a, Eric, n'hésite pas à me mp si tu veux compléter le BG de ton perso.
J'pense que ça permet d'avoir un plus niveau expérience et c'est toujours utile, à un moment où à un autre.


Voilà

*part travailler en grommelant contre dieu*

Marquis aux nouvelles !



Alors pour le Daemon, dans le BG du fofo (section races), y'a marqué :

Citation :

"Les transmissions sont héréditaires. Rien n’indique que cela soit systématique, mais un parent étant un Daemon à une chance sur deux de donner naissance à un enfant Daemon."

Donc, à partir de ce moment, tu as deux choix :

- Soit ton père ou ta mère était un Daemon,

- soit tu as été toi-même le fruit d'expérience nipponne :

Citation :

"Quelques médecins et chercheurs étudièrent la question du peu de différence entre l’animal et l’être humain. Mais ce fut seulement dans les années 1955 que des généticiens Japonais trouvèrent le moyen d’extraire ce qu’ils appelèrent « l’Âme » d’une personne. Car à vrai dire, ce n’est pas réellement son âme, plutôt l’animal qui se cache au plus profond de l’humain, celui qu’il aurait pu être si sa race avait appartenu à la faune.

Voilà. Après, comme l'Australie n'est pas si loin du Japon, c'est deuxième hypothèse est plutôt viable même si l'Océanie n'était pas vraiment dans le conflit.



Donc, je pense que c'est suffisant pour monter un truc, non ? Qu'est-ce qui te manquait exactement ?
(cela dit, j'ne vais pas te forcer à écrire en plus, Arsène décide de toute façon. Cela dit, j'pense que ça donnera encore plus de profondeur, toussa toussa)

Et bien ça ne répond pas à la question essentielle que je me pose : quand et comment se forme le lien entre le Daemon et sont receptacle ? Est-ce dès la venue au monde de l'un ou de l'autre ? Ou bien seulement au moment où ils se rencontrent. Moi, je suis partit de la seconde hypothèse. Donc, l'araignée a rencontré Eric quand il était au fond du gouffre et c'est là que leur lien c'est formé, révélant la race d'Eric. Après, pour l'origine de sa différence, rien de plus simple : ses parents étaient Daemon lattents sans même le savoir car cela ne s'est jamais révélé (question d'alèles dominants et recessifs), ils étaient originaires de l'europe mais ont émigré en australie justement parce qu'elle a échappé au conflit. C'est facile à intégrer à l'histoire du personnage.

Citation :

[...] quand et comment se forme le lien entre le Daemon et sont receptacle ? Est-ce dès la venue au monde de l'un ou de l'autre ? Ou bien seulement au moment où ils se rencontrent [...]

Se rencontrer n'est pas le bon terme, vu que :
1) soit vous avez toujours été ensemble depuis votre naissance
2) soit l'expérience a extrait votre âme animale de votre corps, et dans ce cas là, le lien se fait tout aussi immédiatement (cf l'histoire d'Arsène, je parle de l'apparition de son corbeau).

Citation :

Donc, l'araignée a rencontré Eric quand il était au fond du gouffre et c'est là que leur lien c'est formé, révélant la race d'Eric. Après, pour l'origine de sa différence, rien de plus simple : ses parents étaient Daemon lattents sans même le savoir car cela ne s'est jamais révélé (question d'alèles dominants et recessifs), ils étaient originaires de l'europe mais ont émigré en australie justement parce qu'elle a échappé au conflit. C'est facile à intégrer à l'histoire du personnage.

Mais faux.
Voir plus haut, l'animal est obligé de sortir de TON corps, et non d'être un quelconque insectes de la nature. Au contraire même ^________^
Ce lien est plus complexe qu'une histoire d'allèle. Ce serait, disons, comme une maladie génétique transmissible par génération.

Si t'as d'autres questions...

[HRP] Je suis obligé de mettre ça ici, parce qu'après modification de la biographie, ça ne rentrait plus dans un seul post. [HRP]


III. Daemons
Nom ::Lyssa
Race :: Atrax Robustus (Mygalomorphe), une grosse araignée quoi.
Description ::

Spoiler:

Citation :

L' Atrax robustus, une araignée australienne retrouvée près de Sydney, est sans doute la plus célèbre Mygalomorphe du groupe des Hexathelidae. La femelle peut atteindre jusqu'à 7 cm de longueur ; quant au mâle, il ne mesure guère plus de 5,5 cm. Atrax robustus se nourrit essentiellement de gros insectes, voire d'autres araignées. Cette Mygale présente le venin le plus toxique de tous les Mygalomorphes. Cette araignée présente la particularité de n'être dangereuse que pour les Primates, la plupart des autres animaux étant immunisés naturellement contre ses toxines . Le venin du mâle est environ cinq fois plus toxique que celui de la femelle.

Cependant, Lyssa, la compagne arachnide d’Eric, est bien différente de ses semblables et si des chercheurs avaient la mauvaise idée de se pencher sur son cas, ils la qualifieraient probablement d’anomalie biologique. Sa taille dépasse de loin la moyenne de son espèce, atteignant les 10 cm d’envergure. De plus, son venin est aussi toxique que celui des mâles de son espèce, voire peut-être un peu plus encore. Pour tout le reste, elle dispose des particularités ordinaires de son espèce : couleur noire brillante, et un corps d’araignée mygalomorphe. Il est intéressant de noter que l’anti-venin pour contrer sa neurotoxine n’a été mis au point qu’en 1985, et qu’il n’existe donc pas encore en 68.
En dehors de cela, elle n’est pas non plus une exception en ce qui concerne le comportement agressif dont elle fait preuve habituellement. Heureusement, cela se limite essentiellement à des paroles acerbes et des commentaires cinglants car Eric réfrène son agressivité et lui conseille d’éviter d’attaquer. Cependant, Lyssa est également une compagne agréable pour qui a su lui plaire, mais elle est beaucoup plus difficile à amadouer qu’Eric. Elle est vive d’esprit et, malgré son attitude agressive, réfléchie. Elle donne souvent de précieux conseils à Eric, et lui sert aussi d’éclaireur en de nombreuses situations. Son agressivité naturelle est donc d’avantage une habitude plutôt qu’une réelle intention d’attaquer tout ce qui bouge, et c’est surtout devenu un jeu verbal entre elle et son réceptacle. Aux oreilles d’Eric, elle a une voix chaude (le comble pour un animal à sang frois), profonde et mélodieuse, agréable à écouter. Des deux, c’est Lyssa qui a l’esprit le plus vif, mais elle n’a pas la sagesse d’Eric, qui a vécu plus longtemps qu’elle. Eric lui doit également une bonne partie de son sens de l’humour.

IV. Autres
Relations :: Rejeté par ses parents.
Signes particuliers : Il parle souvent avec Lyssa qui reste cachée, ce qui fait croire à beaucoup de monde qu'il parle tout seul.

[HRP] Note : J'ai volontairement laissé de gros trous dans la biographie afin de ménager le mystère du personnage. [HRP]

Je précise au cas où que j'ai modifié l'avant dernier paragraphe de la biographie. Faites-moi savoir si je dois encore changer quelque chose ou si je suis apte à la validation ^^

Moi ça me va =)
Attends une deuxième confirmation du Marquis, au cas où.

ça rentre dans le cadre, là.


J'ai Hâte de découvrir d'autres parcelles de l'histoire de ton bonhomme. Je respecte ce côté j'entretiens le mystère, y'a pas de souci.

Fait attention de ne pas en profiter pour faire apparaître des trucs trop hallucinants en cas de besoin Mais je te fais confiance

C'est ok pour moi.



BIENVENUE. ET VALIDE !